G.H.C. Numéro 34 : Janvier 1992 Page 477

ASSEMBLEE GENERALE

Rapport financier par le trésorier

                             1989       1990       1991
                                                 au 6/11

SOLDE DEBUT                     0,00  12,747,10  22.739,05

cotisations année en cours 16.064,36  16.304,52  22.925,68
cotisations exception.      5.000,00  15.550,00   5.357,46
cotisations années antér.              3.805,00   6.043,52
cotisations année suivante  7.578,49   5.165,00     670,00
vente publication                      4.430,00     875,00
produits financiers            10,01     546,08
autres produits             1.000,00      98,00     150,00
                           ---------  ---------  ---------
TOTAL PRODUITS             29.652,86  45.898,60  36.021,66

frais de poste              7.218,90  14.667,60  12.078,70
frais de reproduction       7.480,43  15.692,92  16.303,24
achat ordinateur                                 14.825,00
autres frais généraux       2.206,43   5.546,13   9.920,60
                           ---------  ---------  ---------
TOTAL CHARGES              16.905,76  35.906,65  53.127,54

FLUX PERIODE               12.747,10   9.991,95 -17.105,88

SOLDE A FIN                12.747,10  22.739,05   5.633,17

Commentaires sur les résultats.

Après  deux années où nous avons accumulé une  confortable 
trésorerie,  1991  est marquée par un assèchement  de  nos 
réserves.  Les  causes principales sont l'achat de l'ordi- 
nateur indispensable à la gestion des bases de données  du 
Centre,  la diminution des cotisations exceptionnelles, la 
hausse des frais généraux (en particulier participation au 
congrès de Bordeaux).  Néanmoins,  en année régulière, les 
finances du Centre ne posent aucun souci.

L'avenir de la cotisation :

En 1989, GHC vous a été vendu 342 francs le kilo; en 1990, 
197 francs; et en 1991, 178 francs.

Ces chiffres parlent d'eux mêmes : plus ça va, moins c'est 
cher,  et cela ne tient pas aux excédents agricoles,  mais 
au  fait que le nombre de pages a progressé beaucoup  plus 
vite que la cotisation.

Pour la survie des finances du Centre, nous vous proposons 
donc  une hausse relativement importante de la cotisation, 
qui passerait de 100 à 120 francs.

Le président rappelle qu'une subvention a été demandée aux 
Archives nationales pour achat de matériel, mais nous n'en 
n'avons  pas de nouvelles.  Monique Pouliquen indique  que 
les  subventions des Archives pour  publications  viennent 
d'être  votées et que nous pourrions présenter un  dossier 
de demande pour l'an prochain.

  Marie-Antoinette  Ménier intervient pour faire  observer 
que  l'augmentation  proposée  est insuffisante  et  qu'il 
faudrait  qu'elle  soit nettement plus importante  car  si 
nous avons besoin,  par exemple,  d'engager une secrétaire 
pour  aider à la frappe des articles,  nous  n'aurons  pas 
l'argent pour la payer. Le président répond que l'objectif 
est  de  limiter le plus possible les coûts et de  limiter 
aussi  le prix de l'abonnement en le faisant  correspondre 
au  coût  réel  car il ne faut pas  empêcher  certains  de 
s'abonner à cause d'un prix trop élevé. Mais, ajoute-t-il, 
personne n'empêche ceux d'entre vous qui trouvent le  prix 
insuffisant,  d'augmenter  leur  chèque de réabonnement  à 
leur convenance. Ce supplément sera le bienvenu !  

  Après  un court échange de vue,  l'augmentation à 120  F 
est votée à l'unanimité.

Rapport de la secrétaire

  En  ce  qui  concerne  le courrier,  il  n'y  a  pas  de 
changement  notable  par rapport à l'an dernier.  Je  vous 
renvoie  donc au compte rendu de l'Assemblée de 1990  (GHC 
page 275).  Le nombre des lettres par mois n'a pas  sensi- 
blement augmenté mais leur contenu est 
- d'une part plus orienté vers le bulletin : je ne réponds 
donc directement qu'à un tiers des lettres au lieu de deux 
tiers l'an dernier;  les frais de timbres pour le courrier 
a  donc diminué,  d'autant plus qu'un plus grand nombre de 
correspondants  joint  un  ou  plusieurs  timbres  à  leur 
lettre, ce qui réduit nettement les coûts postaux.
- d'autre  part plus long :  la saisie informatique  prend 
donc plus de temps. 
  Les  petits mots gentils se multiplient mais ne  lassent 
pas l'équipe :  ils lui redonnent du tonus ! Cela compense 
le  nombre  surprenant  de  gens  qui  ne  pensent  pas  à 
remercier  pour  une  réponse longue,  qui a  demandé  des 
heures  de recherches puis de mise en forme,  ou même pour 
le  numéro gratuit,  s'ils ne sont pas abonnés,  comme  si 
tout cela était un dû.

  Je  laisserai  la casquette de secrétaire  pour  prendre 
celle  de  chercheuse  et  de rédactrice  du  bulletin  et 
expliquer,   ou  réexpliquer,   comment  s'élabore   votre 
bulletin mensuel... et quelle aide vous pouvez apporter.

  Quand  le  courrier arrive,  ce qui doit passer dans  le 
bulletin est saisi rapidement sur microordinateur, le jour 
même si ce n'est pas trop long (ou si je n'ai pas trop  de 
copies à corriger !), au plus tard le week-end suivant. Je 
profite  de  l'occasion pour rappeler que nous avons  tous 
une  activité  professionnelle,   pour  la  plupart   très 
prenante,  et que nous sommes des bénévoles qui consacrons 
à l'association notre temps de loisirs. 
  Une prière :  rappelez toujours le numéro de la question 
à laquelle vous répondez et la  ou les pages des  articles 
sur lesquels vous réagissez.  Sinon, vous me faites perdre 
un temps précieux.

  Si notre documentation permet de donner des éléments  de 
réponse ou des compléments,  ils sont saisis en même temps 
(voir les NDLR !).
  Si ce n'est pas le cas, deux possibilités :
- soit  la  question ou l'article est publié tel  quel  et 
souvent des lecteurs répondent,  parfois des mois après si 
ce  sont des nouveaux inscrits qui ont pris la  collection 
complète.





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